Risque politique de plus en plus assuré

Fil d'actualités économiques | 29 novembre 2016

La couverture assurantielle du risque de violence politique (terrorisme, guerre civile, insurrection et émeutes) est de plus en plus souscrit par les entreprises, avec +22% sur les souscriptions en un an (et +35% sur les cotations) selon le courtier Aon. Même si le coût de la couverture va de 1 à 10 entre l’Islande et l’Irak, plus aucun pays n’est épargné par le risque, Turquie et France se trouvant désormais aux 3e et 4e rangs mondiaux pour le risque terroriste. Le marché se complexifie, notamment pour répondre à une demande de couverture des pertes indirectes ou à des demandes très spécifiques (risque nucléaire, bactériologique et chimique par exemple).